J’ai repris le travail sur cette sixième planche de BOUCHE DE CUIR. Louis a porté un soin particulier à l’intérieur de la roulotte  qui baigne dans l’étrangeté (et tient plus d’un laboratoire de sorcier) ce qui ne manque pas d’inquiéter.

Louis était venu m’apporter les crayons des premières pages afin que je les scanne et que je lui fasse part de mes remarques. J’ai été enthousiasmée dès la première planche , la troisième planche où le héros croise KIKO pour la première fois m’a bouleversé. C’était un  magnifique travail. Je le lui ai dit. Aussi, Je ne dois pas le décevoir sur son dernier album, ce qui explique le temps long de cette mise en couleur.

A suivre…

la mise en couleur des séquences oniriques dessinées par LOUIS concernant la guerre 1914 avec les tranchées est terminée à l’exception d’un bandeau. Le premier bandeau de la planche 29 dont je vais sans tarder m’occuper. Ci dessous la forme définitive de la planche 9.

A  suivre…

La planche 27 de BOUCHE DE CUIR est également terminée.  . cette gamme d’un bleu gris neigeux convient bien à ces planches 27 et 8 dont l’action se situe dans les tranchées.

A suivre …

La planche 8 de BOUCHE DE CUIR est terminée. Une séquence onirique qui me plait.

Une nouvelle planche de BOUCHE DE CUIR qui est pratiquement achevée. Il reste à poser le texte (peut-être quelques infimes retouches, on verra après décantation)… Une planche qui baigne dans une atmosphère mystérieuse sous l’œil inquiétant du nain. Louis est, j’en suis sûr, d’accord avec moi quant au choix des couleurs. Le bleu nuit convient bien à son histoire qui met l’accent sur le fantastique avec de nombreuses scènes oniriques liées à la guerre et qui finit par basculer dans le surnaturel comme on le découvrira dans la dernière partie.

A suivre…