BOUCHE DE CUIR planche 23 terminée. Une séquence dans les tons bleus. La nuit est là. une planche toute en tension. Menace silencieuse du nain. Peu de décors. Un jeu de couleur délicat. Avec Louis tout passe par le regard. Le texte off (petite musique qui accompagne les planches) sera posé une fois le dessin et les couleurs achevés de la totalité des planches. Notre méthode, que nous avions décidé de suivre une fois de plus pour cette histoire.
A suivre…
BOUCHE DE CUIR, Planche 12 terminée. Le numéro de Firmenta, séquence éléphant. (dans certain post du blog je la nomme Constella, une erreur de ma part que je corrige, je viens de relire les notes de Louis). Unecomposition de Louis qui me plait beaucoup. Simple efficace. C’est très fort.
A suivre …
les bandes verticales rouges et blanches renforcent l’ambiance cirque. c’est mieux. idem pour la planche 14…
On y arrive lentement, je sais que le résultat plait à Louis… « »Carte blanche, c’est mon père qui s’en occupe ! » écrivait-il à son ami Maxime Desruisseaux en août 2020…
A la relecture, au moment de la pose du texte, cette petite musique qui accompagne l’image, il est toujours possible d’y avoir quelques petits ajustements. On verra…
A suivre…
A suivre…
Planche 26 en cours de colorisation…
A suivre…
Le travail sur BOUCHE DE CUIR reprend après quelques jours passés en Normandie chez un ami de LOUIS…
On arrive bientôt dans la dernière partie de l’histoire. planche 41 en cours… rien n’est définitif sur cette option de couleur. là, on est plutôt en fin de journée, option sur laquelle je travaille, mais pourquoi pas le matin ? A voir et prendre le meilleur. On faisait comme ça, toujours plusieurs options.
A suivre…
J’aime beaucoup le graphisme de Louis. (Faut que la couleur soit à la hauteur…) Il manque le maquillage des personnages, et améliorer les jeux de lumière des projecteur et la dernière case.
l’album avance, j’aurai bientôt achevé la colorisation de la totalité des planches de Louis soit 41 planches. Le travail de crayon sur les dix planches manquantes avance aussi.
Les premières lignes du texte sont posées sur un cahier. (ça va le faire ! comme disait Louis) …
A suivre…
Planche 24 en noir et blanc. On y voit le nain injecter un poison au gorille KIKO avant le spectacle du soir, mais avec Louis les méchants sont toujours punis (comme dans tous ses albums) et l’histoire connait une fin heureuse.
A suivre…
Dernière version. Le premier bandeau offre une meilleure transition avec la planche précédente, la 27 entièrement terminée… Je laisse reposer il est temps de passer à la finalisation de la couleur des planches 25 et 26… (au moment de la pose du texte, j’aurais un choix à faire sur cette planche à trois variantes). Avec Louis ce genre de problème est arrivé plus d’une fois, chaque fois résolu. « Dégager le superflu, garder l’essentiel l’utile, poésie et vérité » comme il disait… (On va faire ça, il est avec moi).
A suivre…
Le héros hospitalisé est contraint de porter un masque pour dissimuler sa mutilation du visage (gorille KIKO devenu fou)
Il devient BOUCHE DE CUIR, titre choisi par Louis pour cette histoire. La couleur est presque achevée sur cette planche qui devient la version définitive. Dans la première version , il n’y a pas de scène extérieure. voir le post du 21 juin
Avec cette nouvelle version, les bandeaux 1 et 4 en extérieur renforcent le coté sombre de ce qui se joue. quelques finitions, taches de lumière et un peu de neige avant de continuer sur les dernières planches… Je sais que Louis aime…
A suivre…